« Après la bérézina de l’année dernière, les investisseurs en obligations espèrent certainement des cieux un peu plus cléments cette année. Avec des reculs généralement trois fois plus importants, l’année 2022 a donc de grandes chances de remplacer 1994 dans les classements des plus grands krachs obligataires de l’histoire. A l’origine de ce plongeon, on trouve naturellement l’inflation souvent considérée comme la « kryptonite » des marchés obligataires. «
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