Les grandes banques européennes ont récemment réduit leur retard en bourse par rapport à leurs homologues américaines. Cela découle d’une réaction plus rapide des États-Unis à la crise financière de 2008, d’une croissance économique plus solide, de réglementations plus strictes et de coûts de fonctionnement plus faibles. La remontée des taux d’intérêt en Europe et l’impact de l’immobilier contribuent également à cette tendance récente.
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